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Stéphane Plaza - violence conjugale

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Stéphane Plaza – violence conjugale

4 Commentaires

  1. Et j’ai trouvé ainsi ça:

    https://schweizermonat.ch/die-dunkle-seite-von-metoo/

    Malheureusement seulement en allemand. Mais à l’ aide de Chrome on peut traduire le texte. ( les trois point en haut à droite)

    • Bonjour Suzann,

      Merci pour cet article. Effectivement, les fausses accusations existent, impulsées ou non par des mouvements comme #MeToo, et il est important de noter que ce phénomène n’est pas spécifique à un genre.

      Que faire alors ? Il est essentiel de reconnaître que la majorité des violences coercitives, considérées aujourd'(hui comme violence conjugales, restent invisibles, bien qu’elles soient profondément réelles. Tout en défendant la présomption d’innocence, je pense qu’il est tout aussi crucial de maintenir cette même présomption pour les victimes présumées.

      Le sujet que j’ai abordé dans mon article soulève une préoccupation majeure concernant le déni systématique de la réalité vécue par les femmes qui, preuves à l’appui, témoignent des comportements répréhensibles de cet homme. La présomption d’innocence est ici exclusivement réservée à l’accusé, et jamais aux accusatrices. L’acharnement hystérique observé au sein du groupe de soutien à Plaza, que j’ai utilisé comme cas d’étude comportemental, est particulièrement révélateur. Les victimes sont systématiquement diabolisées, et quiconque tente de les dépeindre sous un jour modéré est insulté, voire, comme cela m’est arrivé, harcelé en privé.

      À mon avis, ces fanatiques, qu’ils soient hommes ou femmes, se révèlent être des victimes secondaires d’une manipulation affective flagrante de la part de Plaza. C’est une dimension du problème qui mérite d’être explorée davantage, car elle révèle les étendues complexes et souvent invisibles de la manipulation psychologique et sociale.

      Encore merci pour votre intervention, Geneviève SCHMIT

  2. Bonjour Madame Schmit,
    Je vous critique ici, sur votre page de contact, car je ne cherche pas la publicité, ni à entamer publiquement une bataille de boue. Il y a déjà trop de discussions publiques et de mobbing.
    Je sais que vous êtes psychologue professionnelle. Néanmoins, je trouve déplacé que vous fassiez une analyse à distance de Stéphane Plaza et que vous la publiiez. Nous, lecteurs, ne connaissons pas les personnes. Nous ne connaissons que l’image de Stéphane Plaza à la télévision et dans les journaux. Nous ne connaissons que les déclarations des trois femmes qui ont été publiées. Je suppose que vous ne connaissez pas non plus personnellement les personnes impliquées. Je trouve que faire une analyse à distance dans ces conditions est une erreur et n’est pas professionnel. De par votre profession, cela passe pour LA vérité aux yeux de tous ceux qui lisent ces lignes.
    Vous vous plaignez sur votre page d’être attaqué par des fans de Stéphane Plaza. Mais c’est exactement la même chose qui se passe quand on s’exprime sur une page #metoo en tant que fan de lui. On est attaqué de la même manière.
    Il faut maintenant attendre la décision du tribunal. Comme je ne « connais » Stéphane Plaza que par la télévision et que je le trouve sympathique et drôle, je suis du côté de ses supporters. Je ne connais pas les trois femmes ni leurs motivations. Il faut simplement croire ce que l’on lit. Là aussi, on ne sait pas ce qui est vrai et ce qui a été déformé par les journalistes. Il faut bien tenir le lectorat en haleine d’une manière ou d’une autre.
    Peut-être que je devrais alors changer d’avis après une décision de justice. Je ne sais pas.
    On ne peut pas nier qu’il a des traits narcissiques. Mais cela fait sans doute partie du métier de comédien et d’animateur de télévision.
    On ne sait pas non plus ce qui a été mis en place et découpé par l’équipe de télévision. Le « produit » doit plaire aux téléspectateurs.

    Je suis Suisse alémanique, d’où mon français un peu bizarre.
    C’était juste mon opinion non professionnelle et je me retire maintenant.
    Bonnes Pâques !
    Cordialement
    Susann

    • Bonjour Susann,

      Je vous remercie pour votre commentaire sincère et réfléchi. Il est toujours enrichissant de pouvoir échanger dans un tel climat de respect mutuel.

      Votre message fait référence à une photo attachée à mon site, mais sans préciser l’article concerné. Je suppose qu’il s’agit de l’article lié à cette image : « L’affaire Stéphane Plaza : accusations, enquêtes et spirale médiatique, quel tournant à venir ?« . Cependant, ma réponse s’applique également à l’autre article mentionné, « Ascension et chute de Stéphane Plaza« .

      Je tiens d’abord à clarifier que ma connaissance de Stéphane Plaza se limite à son image publique, et que mes articles ne constituent en aucun cas une analyse psychologique directe de sa personne. En tant que professionnelle, je suis pleinement consciente qu’une telle analyse nécessite une interaction directe et approfondie, ce qui n’est pas le cas ici. Mes écrits visent plutôt à offrir une réflexion basée sur les informations disponibles publiquement, dont je donne les liens, toujours exprimées avec prudence et souvent au conditionnel.

      L’aspect le plus intéressant pour moi, et que j’explore dans mes articles, est la réaction des fans de Stéphane Plaza. Ce phénomène social, où les individus peuvent développer une forte identification ou un attachement à une personnalité publique, est au cœur de mes recherches. Je considère ces fans comme des victimes potentielles d’emprise médiatique, ce qui mérite une attention particulière dans le cadre de mon travail sur les relations toxiques et la manipulation.

      Concernant les victimes alléguées dans l’affaire Plaza, je tiens à souligner mon engagement envers la présomption d’innocence, tant pour M. Plaza que pour ses trois accusatrices. Lorsque j’ai rédigé ces articles, Stéphane Plaza était, si mes souvenirs sont bons, seulement inquiété par la justice ou en garde à vue (12 mars 2024). Malheureusement pour lui, 48 heures plus tard, le magistrat du parquet a requis son placement sous contrôle judiciaire, avec une obligation de soin (semble-t-il liée à l’alcool ?) dans l’attente de son procès en août. Mon objectif n’est pas de juger mais d’analyser les dynamiques sociales et médiatiques qui se manifestent dans de telles situations. La justice suivra son cours, et il est de notre devoir, en tant que société, de respecter ce processus.

      Je suis ouverte à un dialogue constructif et respectueux sur ces sujets complexes. Les perspectives variées, comme la vôtre, contribuent grandement à enrichir notre compréhension collective. N’hésitez pas à partager vos pensées ou questions supplémentaires.

      En définitive, mes seuls sujets d’étude et de préoccupation dans cette affaire sont les victimes primaires, à savoir les trois accusatrices, ainsi que les victimes secondaires, représentées par les fanatiques et les personnes influencées par la dynamique médiatique autour de cette affaire. Mon travail vise à comprendre et à éclairer les mécanismes psychologiques en jeu dans ces situations complexes.

      Je vous souhaite également de joyeuses Pâques et vous adresse mes cordiales salutations.
      Geneviève SCHMIT

      PS : Je me permets de copier notre échange sous l’article concerné sur mon site. En effet, placé uniquement sous la photo, il risque de ne pas être lu, alors que je trouve notre dialogue particulièrement intéressant et enrichissant.

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